Très éloignée des codes du stand-up et plus proche du théâtre, Alexandra livre dans son spectacle C’est dans la Tête – Chapitre I un monologue tragi-comique dans lequel elle aborde les sujets les plus sombres de notre société avec une légèreté jubilatoire.

Elle a joué toute une saison à La Scala Paris, et accompagné l’ouverture de La Scala Provence lors de sa programmation au festival d’Avignon 2022. Elle a participé à plusieurs festivals d’humour dont le Montreux Comedy Festival, le VOO Rire de Liège, et le festival Paris Paradis.

On l’a retrouvée à la programmation de plusieurs évènements tels que Les Étoiles de l’Humour du Parisien présentées par Monsieur Fraize (Comédie +), la Pasquinade d’Haroun (Comédie +), Le Stand-Up Show de Guillermo Guiz (RTL Play), les soirées pour la lutte pour les droits des femmes présentées par Alex Vizorek, ainsi qu’au Bal des Désobéissantes présenté par Caroline Vigneaux (Paris Première). Alexandra a également écrit des chroniques pour la télévision et la radio, dont Rire et Chansons et France Inter.

Grand Prix du Jury – Festival International du Rire de Rochefort 2019
Prix du Jury – Festival Drôles de Zèbres de Strasbourg 2019
Prix du Jury – Festival Les Andain’ries de Bagnoles de L’Orne 2019
Prix du Jury – Festival Les Vendanges de l’Humour de Mâcon 2018
Prix de la Presse – Festival de Lyon Gerson 2018
Prix du Jury – Festival de Saint-Pierre de Chandieu 2018
Grand Prix du Jury – Festival National des Humoristes de Tournon-sur-Rhône 2018
Prix SACD – Printemps du Rire de Toulouse 2018

J’ai toujours été fascinée par la psyché humaine, ce labyrinthe où tout se répond, dont chaque virage occasionne le suivant – ou le vingtième après, où le fil qui le traverse, liant la cause à l’effet, se meut, se tord, se tend, se rompt parfois.

Je voulais explorer, aborder théâtralement les méandres de l’esprit humain ; C’est dans la Tête est mon premier chapitre.

Le spectacle est adressé au public, sauf quand le quatrième mur se dresse pour laisser place à un souvenir ou une projection. Il se termine par des vers d’Apollinaire, tirés du recueil Alcools. Ce sont les huit derniers vers du poème À la Santé qui sont cités.

Il n’y a aucune ponctuation dans Alcools. Comme s’il n’y avait pas de précaution ; ni distance, ni liens. Une parole nue, posée là, à l’image, symboliquement, de celle du personnage, dont la vision des choses et le rapport à l’autre prennent leurs sens, au fur et à mesure du spectacle, jusqu’au mot de la fin, « raison », qui tombe juste avant le rideau.

Après un bac littéraire, j’ai suivi des études de communication au cours desquelles je me suis spécialisée dans la conception-rédaction ; créer, susciter par les mots. Leur pouvoir me fascine, celui de leur interchangeabilité ; la pertinence d’une combinaison.
Après l’obtention de mon diplôme, je me suis inscrite aux cours Florent, guidée sans doute par le plaisir que j’avais eu quelques années auparavant à jouer La Tempête de Shakespeare, au collège, puis à découvrir Racine ; lire et dire les vers de Phèdre, en rentrant du lycée.

C’est dans la Tête est mon premier spectacle, que je voulais plutôt drôle.
Je voulais commencer par faire rire.
Je commence toujours par faire rire.

Alexandra Pizzagali

« On rit, on est ému, et on se sent bousculé par tant d’audace et de justesse » Télérama

« Un humour noir, cash et raffiné » Le Parisien

« Une folie jubilatoire » Le Point

« Un monologue tragi-comique troublant et grinçant » Le Monde

« Aussi hilarant que terriblement noir et désespéré » Le Soir

« De l’humour noir sans concession » La Provence

« Son talent surprend, dérange sans doute aussi, mais force le respect » Le Figaro